Thierry Klein, le Capital Altruiste, les gorilles, son père sauvé de l'Holocauste nazi
Thierry Klein, le Capital Altruiste, les gorilles, son père sauvé de l'Holocauste nazi
Thierry Klein, dirigeant de l'entreprise Speechi, a étudié à Stanford et s'intéresse à la théorie mimétique, comme en témoigne son (ancien) blog que j'ai toujours parcouru avec beaucoup intérêt.
Son père et plusieurs membres de sa famille ont été sauvés de l'Holocauste nazi par la famille Mandon, qui les a hébergés pendant l'Occupation, à Lamarque, en Ardèche. Pierre Mandon a reçu récemment pour cela le titre de Juste parmi les Nations de l'institut Yad Vashem. C'est sans doute pourquoi, chez Thierry Klein, le "souci des victimes" n'est pas resté lettre morte.
Thierry Klein s'intéresse au sort que les hommes réservent aux animaux considérant que : "Comme l'homme traite les animaux, il traitera les humains". Il a ainsi cédé 10% du capital de son entreprise, Speechi, à l'International Gorilla Conservation Program, qui s'efforce de préserver les derniers gorilles des montagnes.
Céder une partie du capital de son entreprise à une organisation humanitaire, c'est ce que Thierry Klein appelle le Capital Altruiste, qu'il a imaginé et organisé, jusqu'à en déposer le nom, jusqu'à en définir les modalités pratiques et les statuts. Il en est désormais le très ardent promoteur comme en témoigne cet article paru dans Le nouvel Economiste :
A ma connaissance, Thierry Klein n'est pas croyant. Pourtant, le "souci des victimes" s'incarne en lui, je trouve, de façon éclatante, et promise, je l'espère, à un bel avenir.
Son père et plusieurs membres de sa famille ont été sauvés de l'Holocauste nazi par la famille Mandon, qui les a hébergés pendant l'Occupation, à Lamarque, en Ardèche. Pierre Mandon a reçu récemment pour cela le titre de Juste parmi les Nations de l'institut Yad Vashem. C'est sans doute pourquoi, chez Thierry Klein, le "souci des victimes" n'est pas resté lettre morte.
Thierry Klein s'intéresse au sort que les hommes réservent aux animaux considérant que : "Comme l'homme traite les animaux, il traitera les humains". Il a ainsi cédé 10% du capital de son entreprise, Speechi, à l'International Gorilla Conservation Program, qui s'efforce de préserver les derniers gorilles des montagnes.
Céder une partie du capital de son entreprise à une organisation humanitaire, c'est ce que Thierry Klein appelle le Capital Altruiste, qu'il a imaginé et organisé, jusqu'à en déposer le nom, jusqu'à en définir les modalités pratiques et les statuts. Il en est désormais le très ardent promoteur comme en témoigne cet article paru dans Le nouvel Economiste :
A ma connaissance, Thierry Klein n'est pas croyant. Pourtant, le "souci des victimes" s'incarne en lui, je trouve, de façon éclatante, et promise, je l'espère, à un bel avenir.
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